25 février 2015, 11:22, par Jean-François (message 2499)
Les trois dernières lignes proviennent d’un poème de Joachim Du Bellay (Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage).
Du Bellay était originaire de Liré, un petit village angevin sur les bords de la Loire. En 1553, il avait dû quitter la France pour accompagner le cardinal Jean du Bellay, un cousin de son père, à la cour pontificale de Rome... et il avait la nostalgie de son petit Liré.
Dernière précision (et non des moindres), c’est à Liré qu’habite la famille Renou, des vignerons où nous allions, avec Dédé, chercher une demi-barrique d’un excellent vin d’Anjou, et où il m’arrive encore de passer...
Les trois dernières lignes proviennent d’un poème de Joachim Du Bellay (Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage).
Du Bellay était originaire de Liré, un petit village angevin sur les bords de la Loire. En 1553, il avait dû quitter la France pour accompagner le cardinal Jean du Bellay, un cousin de son père, à la cour pontificale de Rome... et il avait la nostalgie de son petit Liré.
Dernière précision (et non des moindres), c’est à Liré qu’habite la famille Renou, des vignerons où nous allions, avec Dédé, chercher une demi-barrique d’un excellent vin d’Anjou, et où il m’arrive encore de passer...